13 . Rue Fleury : Service minimum !

Une autre alternative pour la ville que nous aimons ! Madame Jaouen en avait fait son slogan de campagne. Mais aujourdhui, plus besoin de séduire et ce slogan se conjugue au passé.

Nous aimions notre ville notamment pour sa propreté, pour ses espaces verts entretenus, pour la qualité des travaux de rénovations entrepris. Tout cela appartient à une époque révolue.

Aujourd’hui dans les caniveaux, les mauvaises herbes côtoient papiers sales et canettes de sodas. Dans les rues, l’herbe continue de pousser pendant que Mme la Maire fait des coupes sombres dans le budget d’entretien des espaces verts. A Courdimanche, certains secteurs ne sont plus tondus, mais fauchés ... 
 

Demain, ce sont les voiries communales qui vont faire les frais des choix de Mme Jaouen. Première touchée, la rue Fleury. Adieu la réfection et les aménagements des trottoirs. Adieu la sécurisation de la rue.

Les riverains n’auront droit qu’à une reprise de la bande de roulement (le revêtement) et à de « l’enrobé à froid ». Des travaux de rafistolage certes peu coûteux mais destinés à être revus souvent et qui à terme coûteront plus cher et occasionneront des désagréments à répétition.

Assurément, les riverains du chemin de Pontoise à Meulan, ceux de la rue Jacques Lambert vont faire des envieux.

Il est normal de vouloir maîtriser les coûts, mais il n’y a pas de secret, espérer réaliser des travaux de qualité en dépensant le minimum relève de la démagogie.