35 . Un comportement qui en rappelle un autre !

Publié le par l'opposition

Personne n’a oublié de quelle manière s’y est pris le Président des États-Unis en exercice pour déclarer la guerre à l’Irak. Personne n’a oublié ses déclarations et celles de ses proches collaborateurs sur la présence de stocks d’armes de destruction massive soit disant cachés. Personne n’a oublié les déclarations « la main sur le cœur » et les démonstrations « preuves à l’appui » devant les caméras de télévision. Un seul objectif : Sauver le monde !

 

Tout le monde s’est finalement aperçu que tout cela ne reposait que sur des affirmations mensongères. Les experts de l’ONU, n’ont pas trouvé trace des armes incriminées et les services secrets américains ont fini par avouer qu’ils avaient été abusés par … le Président et son entourage. En réalité tout cela n'avait été qu'un prétexte pour entrer en guerre.

Résultat : plusieurs centaines de milliers de morts, un risque terroriste aggravé, une économie mondiale à l’agonie, …

 

Plus près de nous, à Courdimanche, à un bien moindre niveau, bien évidemment, « on » nous a expliqué qu’il fallait déplacer les aires de jeux de la coulée verte, que leur implantation ne respectait pas les règles (en prenant bien sur le soin de ne pas dire lesquelles). Que les jeux avaient été installés trop près des habitations, que les riverains n’en pouvaient plus d’entendre les cris des enfants. Un seul objectif : Déplacer les aires de jeux... loin de certains élus de la majorité et de certains de leurs colistiers.

 

Les parents ont exprimé leur colère. Une pétition a circulé. A deux reprises, des listes de signatures ont disparu de la boulangerie de la Louvière. Finalement, plus de 250 signatures ont été remises au maire de la ville, et, Mme le Maire à très démocratiquement décidé ... de faire la sourde oreille.

 

Avec le recul, là aussi on apprend que toutes les règles concernant l’installation des jeux ont été respectées. Que le décret  n° 96-1136 du 18 décembre 1996, ne fixe aucune distance minimum. Que le rapport rédigé par le chef de la police municipal en mars dernier ne mentionne aucun tapage diurne ou nocturne (alors que plus de 130 rondes ont été effectuées sur les aires de jeux, pendant près de huit mois). Et que pour faire bonne mesure, la gendarmerie n’a reçu qu’une seule plainte concernant leur utilisation.

 

En résumé, pour faire passer le transfert des jeux,  là aussi « on » nous a menti et « on » continue à nous mentir (voir le courrier récent de Mme la Maire illustrant cet article).


 

Résultat, le démantèlement des jeux annoncés et une note élevée pour les contribuables que nous sommes.  

 

Après les jeux, les finances communales, peut être la fontaine, il semble  que Mme Jaouen n'ait qu'une idée en tête, imposer sa politique "de destruction du travail de l'équipe précédente" et de "gaspillage de l'argent des courdimanchois "?

De nombreux Courdimanchois en prenne conscience et  chaque jour  viennent nous faire  part de leurs inquiétudes. Ils nous disent ne pas comprendre ces dépenses inconsidérées. Ils trouvent honteux de devoir payer deux fois pour la même chose à un an d'intervalle.

Voyons ce que nous réservera l'avenir.

Monique Hervé

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Elle se prend pour Pénélope la mairesse...sauf que Pénélope, elle, elle défaisait la nuit ce qu'elle même avait fait le jour, pas ce que les "copains" avaient fait.jalouse va.
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