201 . On croyait avoir tout entendu... mais 2 ans après cela continue. Que craint donc Mme Jaouen ?

Publié le par Monique Hervé

Au cours du Conseil municipal du 11 février dernier, après que j’ai lu l’intervention que j’avais préparée à propos de la délibération portant sur les travaux de renforcement des structures du cœur de notre église, Mme Jaouen est entrée dans une polémique dont elle malheureusement coutumière.

 

Mon intervention, publiée sur ce blog le lendemain, ne faisait que rappeler l’historique de l’affaire depuis son origine : graves dommages subis par ce bâtiment au moment de la construction de l’hôtel de ville, recours exercés depuis par les différents maires, et travaux réalisés. Aussitôt mon intervention terminée, Mme la maire s’en est prise vivement à ses prédécesseurs les accusant notamment d’avoir laissé faire et m’incriminant, laissant entendre que j'étais responsable de l'état de l'église aujourd'hui et que je n'avais surtout pas à lui donner de leçons.  

 

Une fois de plus Mme Jaouen, victime de son tempérament s’est laissée aller aux pires excès.

 

Nombreux, parmi mes lecteurs savent que l’église a été endommagée en 1993. Comment peut-elle me tenir pour responsable de cette situation alors qu’à cette date je n’étais même pas élue et que je ne suis devenue maire qu’en novembre 2004. Onze ans plus tard.

Mais quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la rage. 

 

Je vous laisse imaginer de quelle manière le public présent dans la salle a accueilli cette calomnie. Protestation, indignation, moqueries, … Au-delà du grotesque de la réaction de Mme Jaouen, j’ai surtout été peinée pour les deux anciens élus présents dans la salle et mis en cause tout comme moi.

 

Au vu des réactions de certains membres de sa propre majorité présents à la table du conseil, j’ai bien senti que Mme la maire a manqué une fois encore une bonne occasion de se taire.

Vouloir absolument à chaque conseil m'accuser de tous les torts devient lassant, ridicule et fatiguant pour les spectateurs du conseil municipal.  

Chacun en arrive à se demander quelle crainte anime Mme Jaouen pour attaquer ainsi perpétuellement. Manque de confiance ? Peur d'être prise en flagrant délit de méconnaissance des dossiers ? Il est certain qu'elle y gagnerait en sérénité si ses interventions était mieux préparées. 

Monique Hervé

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